Tant qu'on ne joue pas, on suit tout ça avec un regard bienveillant, amusé par le cérémonial un brin pompeux, mais tout de même prêt à retrouver une âme d'enfant en voyant les chevaux si racés, et la symphonie de couleurs des casaques.
Tout ça nous ramène aux tiercés du dimanche de notre enfance et aux commentaires télévisuels d'un André Theron que l'on supportait tant bien que mal en attendant la reprise de la retransmission du grand prix de formule 1.
Par contre, dès qu'on a joué ses 2 euros sur le n°7 dans la cinquième course, l'adrénaline ne cesse de monter jusqu'à la délivrance finale ou la déception (en ce qui me concerne, ça a plutôt été le second cas, mais quand on choisit un cheval pour son nom, on doit s'attendre à quelques déconvenues, même s'il s"appelle "Blue Chagall"..)
1 commentaire:
Très belle photo,bravo !
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